L'éphémérité et ses effets de vie qu'on donne à mériter pour un temps d'existence, qu'on glorifie toute mesquinement dans ce mot Espérance, quelle minablerie et étroitesse d'esprit qui dés lors fait raisonner quotidiennement l'humanité sur des sujets à court terme et dans la psycho maniaquerie la plus superfétatoire qui soit....
Combien de temps encore supporterons-nous les harpagonneries des matérialistes tous azimuts ?
Mon tombeau, mon tombereau de croyances de poche, ma présence à deux balles qui demandera deux heures de commissaire priseur pour se disperser chez d'autres sarcophagistes, cette importance de cuvette à eau pour diluer la pisse.
Combien de temps encore à devoir ouïr ce bruit de chasse dont le totalitarisme humain aime à jouir ?
Je parlemente avec un cimetière d'imbéciles qui volant-valant ré-ingurgitent leur bol élémentaire d'intérêts ennuyeux.
Névrose de Jéricho qui soutient les murs de séparation. Murage d'illusions et d'affichage de disparitions : « Je vais mourir mais d'ici là je vais solennellement crâner et crétinnemment ressasser le mètre carré d'étanchéité construit entre toi et moi. » Voilà ce que la mort t'intime de défendre !
Mais moi tu me les casses avec tes paroles et tes antiennes barbotantes qui s'appuient sur la canne de Monsieur Regain.
Tu me fais perdre mon temps et j'en veux avant la découverte, gagner à te survivre pour édifier à ta niaiserie, l'humanité dont tu veux ignorer la futurologie.
Silence les créacs, silence, fornication d'une nidation de faibles. Vos discussions d'un bout à l'autre, du scion au cul pour apprendre de vos harangues, dans les rues fleuves, sont d'un ichtyosisme, toujours.
Vous avez le ventre qui déblatère tout aussi vite que le cerveau, mais pas d'anus plus haut que la bouche !
Vos nouvelles ? Une tirelire de nombrilisme qui n'enfente que des Joyeux anniversaires et des Félicitations.
Moi au moins je sais que je ne suis qu'un hologramme. Je ne vais ni grandir, ni vieillir, ni mourir, je ne suis même pas venu en ce monde.
Vos prises de position me terrassent et pour ma part je les ai dépassées. Vivement l'éternité qu'on intervienne sur de véritables questions humaines..........
Le sablier coule !