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1 octobre 2016 6 01 /10 /octobre /2016 10:01

Les "savons" que nous croyons les bons, les marques comme "mon savoir" que nous utilisons chaque jour devant la glace des reflets que nous désirons montrer comme notre propre connaissance ; que de lavages de cerveau qui une fois dans la boue des événements n'auront plus rien de "savons nets".

Le doigt dans monoïe, la douche froide

Les porte-savoir, on pense tous en avoir eu à notre portée au point de se prendre pour le Père savoir ou la Mère savoir de l'orphelinat des ignorants. La vérité, c'est que nous n'avons à enseigner que des paillettes de savoir.

Le père savon à découper pour les enfants sages dans les années 50

Le père savon à découper pour les enfants sages dans les années 50

Normal, notre histoire commence par analogie au conte de Jeannot et Margot https://fr.wikipedia.org/wiki/Hansel_et_Gretel#cite_note-1 jusqu'à trouver une maison en pain de savons où l'on se goinffre de théories de l'hygiène mentale.

Non, nous ne savon(non)s pas

Dans cette "savoirerie" on ne fait que mettre des coups de tampon : savoir de Paris, savoir de Marseille, savoir de Toulouse et chacun recçoit un de savoir avec le même sceau de la connaissance exigée sur les six faces.

D'émulsion en émulation, nos intérêts n'étant pas les mêmes, au jeu de se faire mousser dans les bains de foule, nous finissons par encrasser des situations.

Non, nous ne savon(non)s pas

Nous savons pouvoir compter sur vous : aller, qui prononce encore cette flatterie "panthéonesque" ? trop de "savons" niés aujourd'hui. Lesquels ? à peu près tous et dans toutes les disciplines. A tel point qu'il nous faudrait un wikipédia du vêcu. De la toilette à la toile pour ainsi dire. Car comme ce paragraphe l'indique, c'est que trop régulièrement que nous apprenons à nos dépends.

Le meileur exemple, c'est en matière de santé et à tout prendre, de constitution humaine. Identifiriez-vous le carpe sur ce squelette et connaissez vous la maladie de Kienböck ?

Non, nous ne savon(non)s pas

Hormi les huiles qui ne sècheront pas sur la théorie, qui mieux que celui ou celle atteint-e de cette affection m'en donnerait la meilleure explication ? c'est de cela que nous sommes peu savonnant.

 

PS : j'ai triché sur le squelette. Les carpes, c'est le poignet et non les omoplates où l'on voit deux carpes.

 

5 savons par jour
Non, nous ne savon(non)s pas

Cinquièmement : désacraliser ce que nous savons tous vivre intimement et pourtant mutuellement.

Quatrièmement : ne pas répéter tout et n'importe quoi. Changer de disque.

Troisièmement : favoriser les instants de discussions personnelles en famille.

Deuxièmement : enseigner dés le plus jeune âge qu'il n'existe pas de cas isolé.

Premièrement : poser d'abord des questions avant de vouloir donner vos réponses.

Encaisser tout de même
Non, nous ne savon(non)s pas
Non, nous ne savon(non)s pas
S'avons un goût bizarre

Dans la bouche on sait, c'est pour les grossièretés, dans l'oeil ça pique et dans les oreilles, les "savons" ça peut laisser rentrer toute chose utile et les déboucher de toute chose futile.

 

http://leretourdefairlance.over-blog.com/article-utilite-sans-zef-124364910.html

 

Non, nous ne savon(non)s pas
Non, nous ne savon(non)s pas

Une conscience maîtrisée, ça vous lessive aussi un individu. C'est un lavement mental. C'est ça ou la pente savonneuse de l'instrumentalisation de l'esprit qui voit, écoute toujours la même soap.

Non, nous ne savon(non)s pas

L'huile des rouages essentielle de l'existence, peu s'en distille dans la grande lessiveuse de l'information. Notre curiosité est dirigée.

Non, nous ne savon(non)s pas
Non, nous ne savon(non)s pas
                                     OU
Non, nous ne savon(non)s pas
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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 16:50

loto comique

 

En voilà une révélation digne de secréter dans le monde du ballon rond une hernie fœtale ! Mais quoi, des matchs de football truqués, des arbitres, des propriétaires ou dirigeants de club voir des joueurs voyous ! Comme si on ignorait le phénomène. Europol dévoile ce qui pour tout le monde est une évidence depuis longtemps, surtout dans ce sport qui fait le tour de la planète avec ses loges présidentielles, ses carrés VIP où plus que taper dans une balle, on shoote dans le globe terrestre.

 

Qu'on ne s'arrête pas en si bon chemin, les magouilles de ce genre sont tout aussi connues du public :

 

- le Loto et tous les jeux de la Française des jeux

- le PMU

- l'euromillion

- les élections Miss Univers

- les élections présidentielles

- les jeux télévisés

 

Et puis le monde est petit, la corruption n'est pas hors de nos frontières organisée essentiellement par des réseaux mafieux d'Asie ou d'Afrique où l'Europe a largement laissé ses influences. Qu'elle assume son image, bien ancrée dans les esprits de ses populations pour lesquelles  il est clair qu'à la source de la roue de la fortune, il n'y a aucun hasard mais plutôt des escroqueries.

 

Il n'y a plus rien à prouver quand les individus sont convaincus de la malhonnêteté de leur pays.

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 11:18

Dans son numéro du 1er au 7 Décembre 2012 Marianne consacre un article à Albert Caraco dont j'avoue, à l'inculture qui me sied, n'avoir à cette heure que 30 minutes de recherche sur l'homme et son histoire.

Une demie heure pendant laquelle je subodore la difficulté dont font preuve les philosophes pour parler du monde comme bel et bien hors du monde, hors du ventre et hors du sang.

 

Marianne Caraco

 


 

ADN animationIl n'est pas aisé pour la plupart des individus d'échapper à la caracolade de la condition humaine, sauf peut-être à déclarer dés le départ « Ni dieu ni maître » mais il  reste encore une puissance contre laquelle nous ne sommes qu'esclaves, la biologie et ses rythmes qui ponctuent nos sens, nos idées, nos dispositions et disponibilités à l'égard d'autrui et aussi de nous même quand ils s'ébranlent.

 

Voyez tous les auteurs anti conformisme, toutes les rebelles du modèle patriarcal, allez partout prendre la mesure de leurs tentatives de refus des codes, des traditions et des attitudes et constatez combien peu résument cet engagement, dans cette totalité métabolique qui confère une même obstination, à leurs contraires.

 

Il y a franchement des jours où je me pose la question : « Et si les pierres pensaient, est-ce qu'elles rouleraient ? »

 

Alberto Caraco

 

link : Studia caracoana

link : site Albert caraco

link : citations

 

C'est parce qu'il y a conscience de la vie et conscience de la conscience que l'option suicidaire se sépare mentalement du principe d'autolyse et que nous savons nos cellules, le résultat de corps cellulaires.

 

Se suicider, c'est enfin ne plus penser...

Penser, c'est enfin ne plus se suicider....

 

                                                                                à partir d'où ?

 


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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 17:13

escalier opéra

 

 

Je vais te demander un effort d'imagination. Couche-toi sur le sol, regarde les étoiles et démens tout simplement le fait qu'elles sont en haut et toi en bas. Maintenant prends une feuille de papier imaginaire, d'un côté représente-toi, puis de l'autre les étoiles et laisse la feuille s'envoler. Elles et toi, vous n'êtes plus que devant et derrière sans pouvoir dire la place des étoiles ou de toi-même. Quand on te parle de hauteur, de place, qu'on t'en assigne la valeur, ton estimation, on te raconte des balivernes, ce sont des marchands de palier qui les inventent.

 

Escalier-Palier

 

Je voudrais que tu comprennes que toutes ces mesures sont créées artificiellement, qu'on ne monte pas, pas plus qu'on descend, que l'on n'est pas plus loin ou plus près. Tu es le jouet de tes sens, de la mécanique du corps et une équation entre poids et énergie. Tu es un instrument dimensionnel qui justifie que tu te positionne ou que l'on ajuste ta position.

Vas plus avant - et déjà tu vois combien "vas plus avant", "déjà", "combien", sont imprécis - reprends la feuille et regarde là comme si le tapis d'herbe, toi et les étoiles ne faisiez qu'un et tu passes au travers de la feuille.

Aucun marchand de palier n'admettra que c'est la liberté et la vérité, le point de vue que je te confie. Tu pourras toujours prétendre que ça appartient à la Terre et aux lois terrestres mais tu te priveras alors de l'univers.

De plus importants principes actifs gouvernent l'immensité, comme la vitesse et l'immobilité, comme le rayonnement et l'impalpable, comme l'énergie et la fluidité.

Les marchands de palier prennent des références de poids, de grandeur, d'échelle et leur jugement pour accord ou refus à ton égard te fera souvent prendre conscience qu'ils t'ignorent au bout du compte.

 

Ce ne sont ni ces titres, ni ces privilèges qu'ils délivrent que tu dois apprendre pour apprendre de toi, te faire comprendre des autres. Ce n'est pas dans la taille et le détail d'un être qu'est l'espace et son espèce, qu'il occupe et accouple au monde.

 

Si tu fais ton marché et rapportes des paliers, tu consens aux règles de l'argent roi, des maîtres du monde, du racisme et du sexisme, des inégalités de l'âge, de la supériorité du nombre. Tu ressens, tu retiens mais tu ne crées pas. Tu trompes tes impressions. Tu crois gagner du temps mais tu reviens sur tes pas. Tu crois gagner une reconnaissance mais tu chutes à ton point de départ.

 

escaliers-escher

 

Essaye de te voir comme une peinture, qui éblouit non pour les dimensions de la toile, ni par l'échelle où elle se situe matériellement, mais pour l'énergie qu'elle restitue, le rayonnement de son rendu, l'insaisissable qui s'y promène, la rapidité avec laquelle nous voyageons, l'immortalité qu'elle détient, la grande fluidité de sa réalisation dans l'ensemble. Accroche-toi aussi dans l'univers. Tu peux aussi varier sur l'usage des sens. Toucher l'air, écouter le silence peuvent par exemple te déshabituer du calcul perpétuel, de la compétition incessante.

 

Tout autour de nous, par notre seule volonté, nous créons de la mobilité, de la mixité, de la stabilité, de l'abstrait, de l'intensité que nous intégrons dans nos outils, nos systèmes et nos performances ne sont quantifiables et qualifiables qu'en aspect et respect hiérarchiques. Ainsi tout change et se modifie dans l'absurde pour peu qu'un mot ou qu'un chiffre constituent ou non le point d'impact espéré. Les marchands de palier ont réussi leur coup si effectivement, une entité n'atteint un niveau, que correspondant à un produit à cette marche. Cette réalité se constate constamment, pour perdre ou gagner, il suffit simplement d'être apparent ou transparent.

Quand les gens disent que les choses ne sont pas comparables, c'est faux et inutile surtout. Faux parce qu'ils affirment qu'elles sont différentes pour les juger moindres ou meilleures et inutile parce que chaque chose dans l'univers est au même endroit.

 

Moi par exemple, je vais faire exprès de ne pas publier mon article ailleurs que sur mon blog et mes pages facebook et thechangebook car c'est ainsi que je fais toujours. Mais si je veux de l'audience, je peux le diffuser plus largement et en des lieux où les habitudes sont prises par des visiteurs et je soignerais le titre au passage. Mais je deviens un produit. Je donne ce faisant à mon blog une valeur basée sur des codes marchands. Mes paramètres dans mon administration d'overblog m'y poussent volontiers et les conseils d'audience pareillement, surtout pour un site rémunéré par de la publicité.

 

Où être ou où ne pas être quand il surgit des marchands de palier, est là une question. Pour ma part c'est simple, tous les identificateurs classiques de la société commerciale et hiérarchique, tous les marqueurs sociaux ne m'intéressent pas.

 

ECHECS-3D

 

Tu n'es pas ce que te concèdent les marchands de palier et leur vision où verticalité et horizontalité aboutissent à la même finition de l'être, qu'il soit question de valeur matérielle ou spirituelle au bout du compte. Un chef d'État ou un mystique célèbre n'établissent avec le tout, pas plus de pertinence à laquelle on pourrait s'attendre quand ils situent leur domaine sur une montagne, au centre d'une capitale, en tête de procession ou dans une tribune d'honneur.

 

Tel que tu les vois dans ce cérémonial, ils nient l'univers et confirment ta petitesse, ton éloignement, ta rigidité, ton enfermement. Ne te laisse pas tromper par tout ce qu'ils ont inventé sur soi-disant les dépassements, les emplacements. Ils te disent le temps, le lieu, la forme et l'usage mais ce ne sont que des correspondances abusives.

Ils ont rendu officiels des critères pour entraver tes mouvements quand les étoiles, la terre et toi-même, aucun écart n'existe.

 

Je voudrais que tu arrêtes de croire que tu accèdes ou cèdes pour ces mauvaises raisons et que tout ou rien n'interviennent dans tes considérations qu'au terme d'un sentiment d'osmose.

 

Et enfin, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise étoile et on ne marchande pas l'univers.

 

Marchands de palier, essayez donc d'échafauder vos issues de secours...

 

modules large

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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 13:04

Ce que l'on s'éprend à joliment prendre pour une âme n'est tout simplement que la force de vivre. De la dire belle ou Plus de force que d'âmetorturée, de la trouver sombre ou brisée en ressacs et de ne pas apercevoir le chemin par où elle s'échappe, toute retraduite ainsi, sont là des états pour sa trame véritable.

A lui faire cent éloges dés son jeune âge, on a aucun effort en la séance. Délogée cent autres fois, comme on lui forcera à l'entendre, lui fera adopter des formes d'aisance. Si elle est paresse, si elle agresse, si elle semble si souvent changer d'adresse, c'est qu'elle déménage sans cesse jusqu'à trouver son repos. La voila partout où elle est en habit, un morceau qu'elle abandonne dans les fondations des taudis, de son investissement.

Ce sont d'années que l'on répand, que l'on fait pâmoison du cotylédon qui retient le charnel à l'énergie maternelle. On peut ressentir l'épuisement, tout homme et toute femme qui s'en maintient ainsi se constituent sur la réserve et se servent en conscience.

En se convainquant que l'âme n'est point soumise aux évanescences du vivant, on triomphe de l'éphémère ; dans l'indéterminable, la finition redonne la vie dans ce qu'elle a de sommaire.

A l'ardente mythologie, c'est plaisanteries d'être en charmes avec de vagabondes inexistences, quand un synonyme des écorces supplémentaires qui peuplent le monde, est un numéro à deux chiffres depuis sa création.

Une seule amorce nous est rattachée, une courte séquence et contre toutes croyances, à défaut d'interpréter sa quintessence comme une force de vivre, la conséquence est la mortalité de cette énergie qui entraîne une létalité programmée.

L'animation nourrie par une joie miraculeuse, est dans les faits une arrogance, qui  oppose la faiblesse pour s'imposer, là où il n'y a que forces qui déclinent ou s'adaptent et s'en devraient en vérité, compréhensibles et complémentaires.

A l'esprit qui sait veiller sur cette palpable chrysalide, vers son ultime abattement ; à celui-là appartient de n'apprécier l'ardeur au-delà du calme, la clameur au-delà de la discrétion, l'éclat et la brillance au-delà de l'inertie et du terne.

Aux ressorts de l'existence pénètrent peu de rebonds mais une élasticité de la force fait qu'elle trouve sa souplesse en d'infinies contractions.

C'est se méprendre au prix des guerres que d'appeler encore cela l'âme pour des forces malveillantes qui s'en éloignent et c'est reprendre le cours de la paix de l'entendre la force de vivre sans réamorce possible.

A l'âme humaine ou non, nul au-delà ou en dedans, au centre ou excentrique, pas plus du noyau de l'origine que de son jaillissement ; à la force tout à la masse par contre, à l'ensemble, de la plus infime particule jusqu'à cohésion, en phase avec les choses présentes, du premier jour au dernier tels les lendemains perpétuels.

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  • : Libre penseur je place l'écriture au- dessus de toute forme de justice. Entre l'être qui agit et l'être qui parle, l'être qui écrit se sait toujours par lequel trahi. Exposition la plus perpétuelle de toutes - tout plaisant sait faire et complaisant sait dire - écrire est un désir irrépressible, de plaisanterie et bien avant, de déplaisir et bien après. Ce que l'animation est à l'image, à l'écriture est la ranimation, un défi atemporel.
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